Le fulgurant succès de « Harry Potter »

Tiré de la revue Alias, CP 71, 1950 Sion, Suisse,

D’après une étude de l’abbé Niklaus Pfluger, parue dans le Mitteilungsblatt de décembre 2000

* * *

« Phénoménal ! », « Du jamais vu ! », « Pottermania ! », « Un succès planétaire ! », etc. Ainsi s’exclame la presse internationale. Qui peut encore prétendre vouloir échapper à la contagieuse frénésie qui s’est emparée des enfants et des adultes à la lecture des aventures de ce fameux Harry, le jeune sorcier le plus célèbre de la planète ?

Le quatrième tome de cette nouvelle saga, dont l’ensemble doit être publié en sept volumes, vient de sortir. Hystérie générale : aux Etats-Unis, en Grande-Bretagne, en France, les librairies ont été prises d’assaut et ont ouvert leurs portes en pleine nuit pour livrer en primeur aux lecteurs affamés Harry Potter et la Coupe de Feu . Amazon.com, la gigantesque cyberlibrairie américaine, a accueilli 9.000 camions qui lui ont livré 400.000 exemplaires (1) !

Les comptes du conte

- 40 millions d’exemplaires vendus dans le monde depuis juillet 1997 (on en serait aujourd’hui à 66 millions). Que l’on sache simplement, à titre de comparaison, qu’avec 40.000 exemplaires vendus, un livre quelconque figure déjà dans le peloton de tête des meilleures ventes !

- Des traductions existent en 35 langues (dont le chinois et le thaïlandais).

- Les trois premiers volumes ont rapporté 480 millions de dollars à leur auteur, J.K. Rowling.

- Premier tirage du 4e tome aux Etats-Unis : 3,8 millions d’exemplaires (dont 3 millions vendus le premier week-end) ; en Grande-Bretagne : 1,5 million (370.000 ex. vendus le premier jour) ; en France : 350.000 ex.

- Tome 4 : 656 pages (Ed. Gallimard).

- En l’espace de quelques mois, l’auteur a été honorée de 42 prix.

- Titres des ouvrages parus : Harry Potter à l’école des sorciers ; Harry Potter et la chambre des secrets ; Harry Potter et le prisonnier d’Azkaban ; Harry Potter et la coupe de feu.

- Les tomes 5, 6 et 7 doivent paraître au cours des trois prochaines années.

La publication du dernier tome a été entourée de manifestations de toutes sortes : défilés d’enfants déguisés, démonstrations de magie, création d’un « fanclub » sur Internet (le site reçoit quotidiennement 4000 à 5000 visites). Un film est en préparation, une adaptation théâtrale s’élabore, des cassettes audio sont enregistrées, Harry Potter a fait la page de couverture de Time, de Newsweek, occupe les premières places des meilleures ventes dans le New York Times. Toutes sortes de produits commerciaux dérivés sont en fabrication (tee-shirts, jouets, panoplies, cartes, gadgets, etc.). Fin novembre, France-Culture a offert à ses auditeurs, entre 22h.30 et 7h. du matin, la lecture intégrale du tome 1.

Que se passe-t-il ? Sommes-nous tout juste confrontés à un succès commercial dû à des techniques de marketing plus sophistiquées que jamais ? Ou bien y a-t-il autre chose derrière cette carrière absolument extraordinaire ?

L’auteur

Ecossaise, née en 1965, Joanne Kathleen Rowling, qui élève seule sa petite fille, a suivi une formation à caractère littéraire et, après avoir travaillé comme secrétaire, notamment pour Amnesty International (elle se qualifie elle-même de « plus mauvaise secrétaire de tous les temps »), se trouve au chômage. C’est dans le train Londres-Manchester, qu’un


On ne mettra jamais trop en garde contre ces livres. Ils sont le support d'une veritable entreprise de lavage de cérveaux qui a pour cibles principales les enfants.


Terrée quelque part aux environs d’Edimbourg, elle a vite fait savoir que « désirant se consacrer uniquement à l’écriture » elle préférerait « que l’on parle de ses livres, plutôt que d’elle ». (2)

Elle est aujourd’hui une des trois femmes les plus riches d’Angleterre.

Qui est Harry Potter ?

Harry Potter est un jeune garçon de 11 ans (il vieillit d’un an par tome, grandissant ainsi avec ses jeunes lecteurs), orphelin, élevé par des proches qui le maltraitent. Ses parents meurent dans un accident de voiture dont lui-même réchappe et dont il conserve une marque : une cicatrice sur le front, en forme d’éclair.

Il apprendra plus tard que ses parents, sorciers illustres, ont en réalité été assassinés par le très méchant magicien Voldemort (3) et que lui-même est doué de pouvoirs magiques.

Fuyant alors le pays des Moldus – ceux qui n’ont pas de pouvoirs magiques et qui donc n’inspirent que mépris -, il ira se former à l’école des sorciers, quelque part en Ecosse, où il se liera d’amitié avec un garçon et une fille qui l’accompagneront tout au long de ses aventures.

Le thème central du tome 4 est un grand concours de magie organisé entre les trois plus prestigieuses écoles européennes de sorcellerie. Chacune sera représentée par son meilleur élève qui devra correspondre à des critères bien précis et sera « élu » par une « coupe de feu » aux pouvoirs magiques. Cependant, à la stupéfaction générale, la coupe de feu désigne un quatrième « élu » en la personne de Harry qui, bien qu’élève exceptionnellement doué, ne correspond pas encore aux critères imposés. Ce coup d’éclat ne manque pas de jeter un grand trouble dans toute l’école : tricherie, manipulation ? Est-ce un coup de Voldemort ? des « forces des ténèbres » ?

La clé du succès

Qu’est-ce qui peut bien faire se décoller de leurs fauteuils-télé, de leurs chaises-play-station et de leurs surfs internautiques des enfants et des adultes ( !) réputés ne plus savoir lire et les faire se ruer littéralement sur des livres, dont le dernier fait presque 700 pages, pour les dévorer sans reprendre haleine, après avoir fait la queue des heures durant devant les librairies ?

D’aucuns avancent des explications psychanalytiques : c’est le retour du grand mythe de l’enfant-dieu. D’autres des explications socio-politiques : c’est une représentation sous forme de monde magique de la société britannique, un miroir tendu aux adolescents qui s’y reconnaissent parfaitement (du vocabulaire « hypercool » aux sentiments de jalousie, d’envie, aux amourettes et disputes, etc.), ce qui justifie que l’on étudie « l’oeuvre » maintenant en classes de collège. D’autres encore, en de savants symposiums culturels, dissertent sur le thème d’une éventuelle résurgence de la grande tradition littéraire des contes fantastiques classiques.

On prétend que l’on se trouve à nouveau face à l’antique combat entre le Bien et le Mal.

Tous louent « la sorcière qui réconcilie les adolescents avec la lecture ». A l’unanimité, l’histoire de Harry Potter est « adorée et adoptée » (4).

Il semble bien, en tout cas, que tout l’art de l’auteur consiste à doser savamment un subtil mélange de naturel et de préternaturel, de réel et d’irréel, de concret et de magique, de rêve et de réalité, d’ancien et de moderne, créant ainsi un climat extrêmement particulier d’étrangeté qui opère une séduction irrésistible, une fascination captivante.

De tels livres sont exactement le
contraire de ce que l'on peut appeler des
livres « inoffensifs », des livres « récréatifs »

Dans les coulisses du conte

C'est bien un monde paien, un monde antichrétien qui est decrit toutau long de l'histoire de Harry Potter. Set univers de sorcellerie, de magie et d'ésotérisme est dépeintetproposé à l'imagination et à l'admiration du lecteur comme le monde normal. Ce monde qui est celui de Satan est « fascinant ». « …par tes enchantements se sont égarées toutes les nations… » (7).

Et si d’aventure quelqu’un tente d’articuler une explication plus réelle, aussitôt on le taxe d’incompréhension ; « Il a mal compris », comme l’affirme le pourtant très sérieux Tagespost (5) : « Il ne peut être question d’une pensée ésotérique ». Les sorciers, la magie, les magiciens auraient toujours appartenu à l’univers classique des contes. Et même chez Rowling « l’amour finirait bien par triompher de la force ».

De tels arguments laissent dans l’obscurité (délibérément) toute une partie des choses, celle qui recèle, ainsi voilés, les dangers et les dommages véhiculés et répandus partout par les histoires de Harry Potter.

On ne mettra jamais trop en garde contre ces livres. Ils sont le support d’une véritable entreprise de lavage de cerveaux qui a pour cibles principales les enfants. Cette entreprise n’est autre qu’un des importants volets de la révolution menée par le New-Age, le Nouvel-Age.

Il devient en effet évident, si l’on procède à une lecture critique du tome 4, que l’esprit diffusé comme tout naturellement, tout simplement, comme allant de soi, est un esprit parfaitement antichrétien. Il est ainsi répandu sur un terrain des plus réceptifs, des plus fertiles, celui de l’enfance essentiellement. Un tel succès, stupéfiant par sa fulgurance, n’a pas d’autre explication. Nous sommes face à la description de l’Empire des Ténèbres, d’un monde sans Dieu.

Quelques aspects essentiels de l’univers de Harry Potter mettent cela en évidence.

1. Un monde païen.


Harry Potter ne peut absolument pas être comparé aux contes classiques qui, eux, sans exception, possèdent une réelle valeur éducative, où le Bien est toujours récompensé et le Mal toujourspuni.

Les hommes qui ne sont pas encore saisis par l’univers magique, les Moldus, sont par définition dans le camp des perdants. La plupart du temps, ils sont dépeints de façon négative, pour le moins objets d’une pitié méprisante et très souvent ridiculisés. Toutefois, le monde ensorcelé de Potter n’est pas complètement exempt de « vieilles » valeurs naturelles et de références chrétiennes. Des notions comme celles de famille, père, mère, parents, fidélité, amitié et même d’esprit de sacrifice, de courage, etc. y jouent un rôle important. Il y est également question de vacances de Noël et de Pâques. Quoique dans un contexte magique, de nombreuses préoccupations très actuelles sont abordées et développées. Ainsi, par exemple, l’école de Harry fait les frais d’une presse hostile, à sensation, lutte contre le racisme et l’oppression, s’intéresse à la démocratie et à la solidarité. L’univers des Moldus, des représentants de l’ « Ancien-Age », en définitive des Chrétiens, est donc entièrement transposé dans ce monde païen de magie, totalement coupé de ses racines (chrétiennes). Les enfants vont bien à l’école, mais à l’école des sorciers. Ils sont bien obligés d’étudier et de passer des examens sérieux, bien entendu ni en maths, ni en anglais ou en géographie, mais dans des matières telles que la science des plantes, des potions magiques, les soins aux créatures ensorcelées, la divination, l’Histoire de la sorcellerie, la science des métamorphoses, la connaissance du langage des serpents, le dressage de dragons, etc.

Là où fait défaut la véritable lutte pour l’acquisition des vertus, prolifèrent tous les vices et toutes les variantes du mal. C’est ce qui explique le langage grossier de ces adolescents, leurs expressions souvent vulgaires, primitives. La vengeance, l’envie, la jalousie, mais aussi la haine et le plaisir de tuer font partie de ce monde surnaturel et caractérisent ses héros. Ainsi donc, le « bon » Harry pourra tout naturellement souhaiter à son professeur, détesté par-dessus tout, le pire des sorts. Il se voit le maudire et l’éliminer comme il le ferait d’une araignée qu’il écraserait et laisserait agoniser en gigotant. Broyant des scarabées, il s’imagine que chacun d’eux a le visage de son professeur. Voilà le « modèle », l’idéal, que propose aux lecteurs le personnage de Potter. Les professeurs eux-mêmes ne sont pas moins menteurs, faux et hypocrites que leurs élèves. Dans le même chapitre, Harry, devinant que son professeur projette de l’empoisonner, prévoit de se défendre en lui jetant sa marmite à la tête, sa « grosse tête grasse ».

Dans le tome 4 des aventures de Harry Potter, le point culminant est la description sans équivoque d'un rituel satanique qui cmprend un meurtre d'enfant, des profanations de défunts et de cimetières, un sacrifice sanglant et des blasphèmes.


A ce stade, on conviendra qu’il ne peut plus être question au sujet de ces livres de « valeur éducative », de « formation », d’éducation à la vertu !

2. Le Bien et le Mal.

En raison de la rupture totale entre les valeurs proposées et le fondement dans lequel elles devraient normalement être enracinées, on arrive à un renversement complet, à une véritable inversion de ces valeurs. Et c’est pour cette raison que Harry Potter ne peut absolument pas être comparé aux contes classiques qui, eux, sans exceptions, possèdent une réelle valeur éducative, où le Bien est toujours récompensé et le Mal toujours puni.

Dans le cas qui nous occupe, il y a bien un combat entre le Bien et le Mal, c’est à dire entre, d’une part, Harry, le Ministère de la Sorcellerie, la Direction de l’école, etc. et, d’autre part, Lord Voldemort et ses partisans sanguinaires, les nécrophages. Mais le Mal n’est jamais vraiment vaincu et le Bien ne l’emporte – en apparence - que grâce à de mauvais et méchants moyens. Où que l’on cherche, on a toujours affaire à un esprit qui n’a rien de chrétien. Le Bien, comme le Mal, mène son combat au moyen de la sorcellerie, de la magie.

3. Satan et ses pompes.

L’objet de l’éducation à l’école Poudlard, n’est ni le beau, ni le vrai, ni le bien. Au contraire, les sujets étudiés constamment, les thèmes omniprésents sont la laideur, la vengeance et le mensonge. Par exemple, tout un passage porte sur la description d’une plante répugnante, ressemblant à un mollusque pourvu de bubons remplis de pus, qu’il s’agit de faire éclater afin d’en récolter précautionneusement le très précieux contenu pour en tirer un remède merveilleux. Les détails de couleurs et d’odeurs sont minutieusement rapportés. Ailleurs est décrite avec complaisance une créature monstrueuse, une sorte de bête mi-crapaud mi-pieuvre, sans bouche et qu’il s’agit cependant d’élever en la nourrissant (Harry se demande bien comment – il a du bon sens…) d’oeufs de fourmis, de foies de grenouilles et de morceaux de couleuvres. Ces leçons de travaux pratiques se déroulent dans une ambiance tout à la fois malicieuse et malsaine.

Le hideux le dispute au monstrueux.

4. Magie blanche et magie noire.

Harry et ses amis étudient différents arts de sorcellerie et l’on aimerait bien faire preuve d’humour en se laissant entraîner par l’auteur dans ce monde de magie fantastique. Ici, les hommes sont changés en animaux et inversement. Là, et ce n’est pas le plus difficile, on fait apparaître de l’or ou des mets délicieux. Selon les besoins, on fait rajeunir ou vieillir à volonté. On fait pousser les dents comme on veut, on peut bien sûr aussi les embellir. Avec la cape magique on se rend - ou on rend les autres - invisible à volonté ; on peut parcourir de très grandes distances en quelques secondes (en cas de pannes c’est le « commando magique des accidents de la circulation » qui intervient). Les lettres et les paquets sont distribués en un clin d’oeil et celui qui se trompe dans sa sorcellerie comparaît aussitôt devant la « commission contre le mauvais usage de la magie », etc., etc.

Comme on le voit, l’imagination - le délire ? - n’a pas de bornes .

Cependant, on découvre, dissimulé derrière cette apparence de jeu inoffensif, un esprit sérieux, sanguinaire, sans pitié, qui ne recule devant rien pour anéantir tout rival. A l’école et dans les livres de sorcellerie, les enfants apprennent à se servir du pouvoir de malédiction et à se nuire les uns les autres. Un professeur enseigne les malédictions irréversibles qui assurent une domination complète et l’anéantissement de la victime dans un sacrifice absolu.

5. De l’ésotérisme au satanisme.

Ce n’est peut-être qu’une inquiétante coïncidence si cette malédiction mortelle est justement décrite en page 666 (édition allemande). Mais ce n’est pas un hasard si la laideur conduit à la haine et la haine au meurtre.

Qui osera encore parler de jeux innocents ?

Dans le tome 4 des aventures de Harry Potter, le point culminant est la description sans équivoque d’un rituel satanique qui comprend un meurtre d’enfant, des profanations de défunts et de cimetières, un sacrifice sanglant et des blasphèmes. Lord Voldemort qui personnifie Satan, mais qui n’est jamais désigné autrement que par « Vous-savez-qui » (6), réunit son esprit à un corps humain, se donnant ainsi lui-même une nouvelle vie. Il ne conviendrait pas de reproduire ici le rituel décrit. Cependant, il peut être affirmé que les formules utilisées pour le rituel sont, sans aucun doute possible, des formules blasphématoires et anti-trinitaires qui prétendent créer la vie, reproduire, copier, imiter l’acte divin de création d’une manière diabolique.

Bien sûr, l’histoire nous montre Harry luttant contre Voldemort ; c’est bien cela qui permet à ces obscures et confuses théories du « mythe de l’enfant-dieu » de se propager, alors même que le Mal n’est pas du tout vaincu, mais au contraire subtilement glorifié.

Conclusion

C’est bien un monde païen, un monde anti-chrétien qui est décrit tout au long de l’histoire de Harry Potter. Cet univers de sorcellerie, de magie et d’ésotérisme est dépeint et proposé à l’imagination et à l’admiration du lecteur comme « le monde normal ». Ce monde qui est celui de Satan est « fascinant », « …Parce que par tes enchantements se sont égarées toutes les nations… » (7).

C’est pourquoi de tels livres sont exactement le contraire de ce que l’on peut appeler des livres « inoffensifs », des livres « récréatifs ». Il est fort probable que les jeunes lecteurs (et les adultes) ne saisissent pas clairement - et même pas du tout - les implications profondes et les dangers que contiennent ces ouvrages. Cependant, les esprits et les coeurs sont ainsi préparés pour un temps où Satan règnera tout-puissant, universellement et où, en apparence, il ne pourra plus être vaincu par le Christ ; pour un temps où les Moldus, les Chrétiens, n’auront plus la force de lutter contre le Mal.

Il n’est certainement pas exagéré d’affirmer que ceux qui ont conçu et qui orchestrent le stupéfiant battage médiatique qui assure la promotion de ces livres – le 4e volume paraît juste avant Noël, à minuit pile - sont parfaitement au fait des enjeux profonds et du gigantesque combat entre le Christ et Satan et qu’ils savent parfaitement quel camp ils ont rejoint.

Le Chrétien, lui, est allié au Christ.

Il est dès lors clair que se démarquer totalement de cet engouement dangereux est non seulement une nécessité, mais également un acte de témoignage.


Alias

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(1) Paris-Match, 30 novembre 2000.

(2) Figaro Magazine, 25 novembre 2000.

(3) Le choix des noms propres, à lui seul, mériterait une étude.

(4) Figaro Magazine, 25 novembre 2000.

(5) Die Tagespost, no 123, 14 octobre 2000.

(6) Il s’agit vraisemblablement d’une allusion au respect que les Juifs, dans l’Ancien Testament, témoignaient à Jahwe, leur Dieu, en ne prononçant pas son nom.

(7) Apocalypse, 18; 23.